Victor Lequillerier, économiste à BSI Economics, est intervenu dans un article dans Le Monde à la date du 10 mars 2016, au sujet des taux d’intérêt négatifs sur les obligations souveraines : « Ces grands investisseurs font aussi le pari que la valeur de l’obligation puisse remonter : ils pourraient alors les revendre à la BCE en faisant une plus-value […] Mais c’est un pari risqué : si les taux remontent et que le cours de l’obligation diminue significativement, ce pari est perdu. »